Dans une dynamique de refondation nationale fondée sur les réalités endogènes, le Capitaine Ibrahim Traoré place les légitimités traditionnelles au cœur du processus de reconstruction du Burkina Faso. Les récentes visites de courtoisie du Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo auprès de Sa Majesté Naaba Guiguempolé, Roi de Tenkodogo, et de Sa Majesté Naaba Yemdé, Kourit-Yir Soaba, témoignent de la profondeur de cette vision.
Cette dynamique s’inscrit dans la ligne de conduite panafricaine défendue par le Capitaine Ibrahim Traoré : une gouvernance enracinée dans l’histoire et la culture des peuples. Dans un contexte de refondation profonde, où la résilience de l’État repose sur la mobilisation de toutes ses forces vives, le rôle des chefs traditionnels apparaît désormais comme un maillon essentiel de l’architecture sociopolitique nationale.
Le Capitaine Ibrahim Traoré perçoit les autorités coutumières non comme des témoins du passé, mais comme des acteurs stratégiques de la paix et du développement. Par leur enracinement local, leur légitimité historique et leur autorité morale, elles participent activement à l’encadrement de la jeunesse, à la prévention des conflits communautaires et à l’accompagnement des initiatives de développement, notamment dans l’agriculture vivrière, comme le démontre l’engagement exemplaire de Naaba Yemdé.
Cette politique de valorisation des autorités traditionnelles contribue à renforcer le tissu social burkinabè, à réconcilier l’État avec ses bases culturelles, et à garantir une paix durable fondée sur la justice, le respect et le dialogue. Elle traduit la volonté du Président du Faso de bâtir un Burkina Faso souverain, uni et enraciné dans ses propres repères.
L’avenir s’annonce prometteur pour le Burkina Faso. Avec la détermination du Capitaine Ibrahim Traoré et l’implication croissante des forces traditionnelles, le pays se forge une voie singulière, digne et confiante vers un développement durable porté par ses propres valeurs.