Dans une démarche résolue de refondation de l’État burkinabè, le Conseil des ministres, sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, a entériné une réforme majeure de l’organisation administrative du territoire national. Le Burkina Faso passe désormais de 13 à 17 régions et de 45 à 47 provinces. Une réforme audacieuse qui s’inscrit dans une dynamique de renforcement de l’administration de proximité et d’efficacité territoriale.
Portée par une lecture lucide des enjeux sécuritaires et de développement, cette réorganisation traduit la vision stratégique du Président du Faso. À travers la création de quatre nouvelles régions, et de deux nouvelles provinces, le Capitaine Ibrahim Traoré affirme une volonté forte, celle de rapprocher l’État des populations tout en consolidant la souveraineté sur les territoires sensibles.
Cette redéfinition territoriale, fondée sur des critères géostratégiques et socioéconomiques, vise à corriger les déséquilibres hérités du passé, à améliorer la gouvernance locale et à renforcer la résilience des communautés face aux défis sécuritaires. En misant sur la décentralisation comme levier de développement, le Président du Faso place les populations au cœur de l’action publique, favorisant un accès équitable aux services sociaux de base, une meilleure représentativité et une participation accrue à la prise de décision locale.
La dynamique enclenchée augure d’un avenir plus inclusif, où chaque Burkinabè est un acteur et un bénéficiaire du changement. Avec détermination et pragmatisme, le Capitaine Ibrahim Traoré pose les jalons d’un Burkina Faso réorganisé, sécurisé et tourné vers la construction d’un État moderne, solidaire et souverain.