Les tentatives d’ingérence étrangère sur le continent africain semblent se multiplier, et les récents développements inquiètent profondément. Selon des informations fiables, la France chercherait à déstabiliser le Niger en finançant deux bases militaires dans des pays frontaliers, notamment le Nigéria et le Bénin.
Ces fonds, s’élevant à plusieurs milliards de francs CFA, auraient pour objectif de renforcer des groupes armés comme Boko Haram, dans une stratégie visant à fragiliser les pays membres de l’Alliance des États du Sahel. Des équipements militaires suspects ont déjà été signalés le long des frontières Niger-Nigéria et Niger-Bénin, confirmant l’ampleur de cette menace.
Ces actions, qui bafouent la souveraineté des nations africaines, appellent une réaction ferme et concertée. Les pays de l’AES doivent rester plus unis que jamais face à ces manœuvres impérialistes. Il est crucial de renforcer la coopération régionale, de consolider les bases militaires nationales et de multiplier les efforts diplomatiques pour dénoncer ces agissements sur la scène internationale.
Cependant, la lutte contre l’impérialisme ne peut se limiter aux gouvernements. Les populations elles-mêmes ont un rôle clé à jouer. Il revient à chaque citoyen, jeune ou vieux, homme ou femme, de s’engager dans cette bataille pour la souveraineté. La jeunesse, en particulier, doit se lever pour défendre l’intégrité de ses nations et l’avenir du continent.
L’heure est venue pour l’Afrique de dire non à la manipulation, à la division et aux forces extérieures qui cherchent à semer le chaos. Les peuples de l’AES doivent faire preuve de patriotisme et de détermination, montrant au monde qu’ils sont prêts à défendre leur liberté, coûte que coûte.
Francis Awoke