Burkina Faso : La riposte coordonnée des FDS, reflet d’une nouvelle avancée sécuritaire impulsée par le capitaine Ibrahim Traoré

Depuis plusieurs semaines, le Burkina Faso est le théâtre d’une série d’opérations militaires d’une intensité et d’une coordination sans précédent. Sous la conduite éclairée du capitaine Ibrahim Traoré, les Forces armées burkinabè (FAB), appuyées par les vecteurs aériens et les unités engagées au sol, ont infligé de lourdes pertes aux groupes armés terroristes dans toutes les zones sensibles du pays. Cette dynamique militaire, méthodique et résolue, s’inscrit dans une stratégie nationale de reconquête du territoire et de restauration de l’autorité de l’État.

La séquence d’opérations débute le 29 avril avec une tentative d’embuscade ennemie entre Foutouri et Gayeri, rapidement déjouée par une coordination précise entre le renseignement, les frappes aériennes et les unités terrestres. Ce schéma de riposte se répète et s’intensifie les jours suivants : à Sawenga, Boulsa, Diabo, puis dans le parc W, les terroristes sont systématiquement repérés, suivis et neutralisés. À Tissé, une embuscade au sol vient compléter l’action aérienne, illustrant l’intégration croissante des différents corps de l’armée.

La bataille de Djibo, déclenchée à l’aube du 11 mai, marque un tournant. Face à une attaque massive et coordonnée des terroristes, les forces burkinabè déploient une contre-offensive aérienne d’envergure, mobilisant plusieurs vecteurs pour repousser les assaillants, localiser un blindé volé, et suivre la fuite désorganisée de l’ennemi jusque dans ses bastions de repli. Cette opération d’envergure révèle la maturité opérationnelle atteinte p ar les forces sous la présidence du capitaine Traoré.

Sous son impulsion, le Burkina a adopté une doctrine sécuritaire fondée sur l’anticipation, la mobilité et la précision. Le soutien sans faille aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), les embuscades coordonnées menées à Titao, Tougan, Sollé ou encore Silmangue, illustrent l’efficacité du maillage territorial voulu par le chef de l’État. En parallèle, les campagnes de frappes ciblées dans la vallée du Sourou, à Taouremba, Filio, Bouro et Nassoumbou, traduisent une volonté assumée de détruire les sanctuaires ennemis sans concession.

La présidence du capitaine Ibrahim Traoré marque ainsi une rupture nette avec les stratégies passées. Refusant l’immobilisme, il mise sur l’action offensive, la rapidité des frappes, la remontée efficace du renseignement, et une implication directe des forces combattantes au plus proche du terrain. Les opérations menées du 29 avril au 15 mai traduisent clairement cette vision stratégique. Le   lancement de l’opération « Tourbillon vert 3 » à la frontière ivoirienne, couplé à l’offensive de nuit contre les groupes armés, montre une capacité à agir sur plusieurs fronts simultanément.

En renforçant les capacités d’intervention, en valorisant le sacrifice des soldats, et en coordonnant avec rigueur l’ensemble des composantes militaires, le capitaine Traoré pose les fondements d’une sécurité durable. Sa présidence, bâtie sur le courage, la souveraineté retrouvée et la défense des populations, redonne espoir à un peuple longtemps meurtri par la violence. Ces succès, bien que tactiques pour l’heure, constituent les prémices d’un renversement stratégique décisif.

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