par Awa TOURE 
Le 8 avril 2025, le ministre d’État, ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Ismaël SOMBIE, a procédé au lancement officiel des travaux de curage du Barrage de Boulbi, situé dans la province du Kadiogo, région du Centre.
Un chantier d’envergure qui, d’ici deux mois, promet de redonner vie à cet ouvrage hydraulique vital pour l’agriculture et l’élevage dans cette région. Cette initiative s’inscrit pleinement dans la vision du Président Ibrahim Traoré et son gouvernement, qui placent la transformation du secteur rural et la durabilité des ressources naturelles au cœur de leur action.
Le barrage de Boulbi, qui joue un rôle stratégique dans la régulation de l’eau pour l’agriculture, la consommation des ménages et l’abreuvement des animaux, souffrait d’un ensablement progressif, phénomène qui affecte son fonctionnement, notamment pendant la saison sèche. Le gouvernement a donc pris l’initiative de procéder à des travaux de curage d’envergure. Ces travaux vont toucher une superficie de 25 hectares, permettant ainsi de mobiliser 100 000 m3 d’eau.
Les travaux de curage du barrage de Boulbi devraient être achevés d’ici mai 2025. Cette réhabilitation devrait être un modèle pour d’autres initiatives similaires, contribuant à la durabilité des infrastructures hydrauliques du Burkina Faso.
Ce projet de réhabilitation témoigne d’une volonté politique forte de la part du gouvernement du Président Ibrahim Traoré de répondre aux défis environnementaux et de développement durable du Burkina Faso. En effet, depuis son accession à la présidence, le capitaine Traoré n’a cessé de placer la question de la gestion des ressources naturelles au cœur de ses priorités. La réhabilitation du barrage de Boulbi vient ainsi renforcer une politique agricole qui a pour but de garantir la sécurité alimentaire et de promouvoir une croissance économique inclusive.
À travers cette action, la présidence du capitaine Ibrahim Traoré continue de marquer des avancées significatives en matière de gestion des ressources naturelles et de transformation du secteur agricole, des priorités pour un Burkina résilient et autosuffisant et pour un avenir meilleur et plus équitable pour tous les Burkinabè.