Le 24 juin 2025, la commune rurale de Pabré a accueilli le lancement national de la campagne d’insémination artificielle animale et de vaccination contre la fièvre aphteuse. Cette initiative, conduite par le ministre d’État en charge de l’Agriculture et des Ressources animales, s’inscrit dans le cadre des profondes réformes impulsées par le Capitaine Ibrahim Traoré pour refonder durablement le secteur de l’élevage au Burkina Faso.
Sous le leadership du Président du Faso, l’élevage est érigé en pilier stratégique de la souveraineté alimentaire et du développement économique endogène. Le gouvernement, fidèle à sa démarche panafricaine et populaire, place l’éleveur au cœur des priorités. La campagne actuelle en est l’illustration concrète, avec un objectif ambitieux : vacciner plus de 100 000 bovins contre seulement 3 000 en 2024, et inséminer au moins 15 000 vaches et 2 000 truies. L’introduction de l’espèce porcine et la réduction drastique des coûts de prestation (de 50 000 à 5 000 F CFA pour les bovins) traduisent une volonté ferme de démocratiser l’accès aux technologies modernes.
Les innovations sont nombreuses : imagerie médicale pour le suivi de la fertilité, matériel de conservation de haute qualité, et surtout, des brigades régionales d’insémination permanentes pour un maillage territorial équitable.
Ces avancées sont rendues possibles par un climat sécuritaire en nette amélioration, fruit des efforts soutenus du Capitaine Traoré pour restaurer l’intégrité du territoire. Grâce à cette stabilité retrouvée, les acteurs de l’élevage peuvent travailler en toute sérénité.
Le Burkina Faso, guidé par une vision panafricaine audacieuse et ancrée dans les réalités du peuple, s’oriente résolument vers l’autonomie et la prospérité. L’élevage, désormais outil de transformation structurelle, est l’un des leviers clés de ce renouveau.