par Awa TOURE 
Dans un contexte de refondation nationale et de lutte pour la souveraineté intégrale, le secteur de la santé figure au cœur des priorités du capitaine Ibrahim Traoré. La récente réforme sanitaire, instaurant depuis avril 2024 un tarif unique de 25 000 FCFA pour les examens de scanner dans les structures publiques, incarne cette volonté politique de bâtir un Burkina Faso plus juste et plus résilient. Cette mesure, appliquée avec rigueur dans des centres comme le CHR de Kaya, commence déjà à transformer la réalité du terrain.
Les résultats sont probants. Le nombre d’examens scanners au CHR de Kaya est passé de 83 en janvier 2024 à 213 en janvier 2025, soit une progression de plus de 150 %. Ce bond quantitatif illustre un changement qualitatif dans la prise en charge médicale. Les médecins, libérés de contraintes économiques pesantes sur les patients, peuvent désormais prescrire des examens plus efficacement. Les diagnostics précoces se multiplient, renforçant ainsi les chances de traitements réussis.
Mais cette avancée n’est pas le fruit du hasard. Elle s’inscrit dans une logique globale impulsée par le Président Ibrahim Traoré, celle du renforcement des capacités techniques, de dotation en équipements modernes, et de la présence de spécialistes qualifiés. Ces reformes sanitaires opérés au CHR de Kaya, illustrent la vision stratégique de l’État, qui combine accessibilité, performance et continuité des soins.
Au-delà des chiffres, ce sont les populations vulnérables – déplacés internes, ruraux, patients sans ressources – qui en ressentent le plus l’impact. Grâce à cette réforme, des vies sont sauvées, des familles soulagées, et l’espoir d’un système de santé national plus inclusif devient palpable.
Cette politique de justice sociale et d’efficacité sectorielle traduit la détermination du capitaine Ibrahim Traoré à faire de la santé un pilier du développement souverain du Burkina Faso.