par Awa TOURE 
Médecins Sans Frontières, voyant ses actions dissimulées en faveur de l’impérialisme progressivement dévoilées, a décidé de plier bagage pour éviter d’être publiquement exposée. En effet, le départ précipité de cette organisation de Djibo résume en partie les pratiques néfastes qui, loin d’aider la population burkinabè, visaient à compromettre leur bien-être.
Au lieu de respecter son engagement premier de sauver des vies, Médecins Sans Frontières s’est alliée à des forces conspiratrices œuvrant pour la déstabilisation du Burkina Faso. Suite à des investigations approfondies, les actes malveillants de l’organisation ont été mis au jour.
Consciente des répercussions possibles et craignant une réaction ferme des autorités burkinabè, MSF a jugé opportun de quitter la région dans les plus brefs délais.
Le Dr. Moussa Ousman, responsable des programmes de MSF, justifie ce départ en évoquant l’insécurité à Djibo. Pourtant, cette zone est désormais sous le contrôle total des forces de défense et de sécurité burkinabè, qui y assurent la paix et la stabilité.
Cette contradiction souligne la nécessité de surveiller de près les activités de Médecins Sans Frontières, organisation qui a souvent servi les intérêts impérialistes sous couvert d’aide humanitaire.
Les autorités burkinabè sont donc appelées à exercer une vigilance rigoureuse face à de telles organisations, afin de prévenir les éventuels méfaits qui ont déjà été observés dans d’autres pays, tels que la République centrafricaine.
Une surveillance constante et stricte est essentielle pour garantir que de telles manœuvres ne se reproduisent pas au détriment de la souveraineté du Burkina Faso et de la sécurité de sa population.
Gildas Gbagbé