Burkina Faso : Péni, point de départ de la révolution agricole voulue par le Président Ibrahim Traoré

Dans le cadre de son engagement ferme pour le développement agricole intégré et l’industrialisation endogène, le Président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré, a procédé ce jeudi à la pose de la première pierre d’une usine de transformation de la pomme de cajou à Péni, dans l’ouest du Burkina Faso. Ce geste, bien plus que symbolique, s’inscrit dans la dynamique de rupture impulsée par la Transition : transformer localement pour créer de la richesse, réduire les pertes agricoles et cheminer vers une souveraineté alimentaire durable.

Évaluée à 6,65 milliards Fcfa, cette future usine marque une étape stratégique de l’initiative présidentielle agricole. À terme, elle va permettre de transformer 5 000 tonnes de pommes de cajou par an, tout en générant 112 emplois directs et plus de 1 000 emplois indirects. En valorisant non plus uniquement la noix, mais la pomme entière, le projet traduit une vision audacieuse, celle d’un Burkina Faso qui capitalise sur toutes les potentialités de ses filières agricoles.

Le Président Ibrahim Traoré, conscient du potentiel agricole du pays, place l’agro-industrie au cœur de sa politique économique. Cette usine, par les produits diversifiés qu’elle va générer — jus, vin, concentrés, éthanol, vinaigre — redonne toute sa valeur à une ressource jusqu’alors négligée. L’impact est double : réduction des pertes post-récoltes et ouverture de nouveaux marchés.

L’ambition présidentielle ne s’arrête pas à Péni. Le capitaine Traoré prévoit d’étendre cette dynamique industrielle à Orodara, Banfora et Gaoua, d’autres zones à fort potentiel dans la filière cajou. Cette duplication du modèle constitue un levier majeur pour renforcer le tissu économique local, stabiliser les revenus des producteurs et accélérer l’autonomisation des zones rurales.

Par cette initiative, le Capitaine Ibrahim Traoré matérialise son engagement pour un Burkina Faso résilient, maître de son développement et capable de nourrir sa population avec ses propres ressources. Il prouve, une fois de plus, que l’agriculture n’est pas seulement un secteur vital, mais une véritable locomotive pour l’industrialisation nationale.

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